dimanche 25 août 2013

RACISME : MAROC UN PAYS A EVITER !!


«Je suis Marocaine et j’ai honte de moi-même»

Dans une tribune, une Marocaine dit sa honte du racisme à l'encontre des noirs africains. Un racisme qu'elle a souvent cautionné par son silence. 

 

smaïla Faye, un jeune Sénégalais assassiné pour une place de bus, le 14 août dernier. Cette histoire est la dernière d'une longue liste d'actes racistes contre les Africains qui résident au Maroc. Dans une tribune intitulée «Je ne suis pas raciste, je suis pire» et publiée sur le site collaboratif Quandisha, une Marocaine crie sa colère et sa honte de porter la  nationalité d'un pays qui traite aussi mal «ses frères». Ismaïla Faye, comme tous les autres, ont espéré rejoindre un pays accueillant. Ils n'ont finalement trouvé que du mépris. Au nom de tous les Marocains défenseurs des droits de l'homme, l'auteure de la tribune demande pardon: «Mes lâches silences face à l’ignominie ôtent toute sa beauté à mes grands discours humanistes et mes honorables pensées sur la justice et l’égalité entre les Hommes.(...)Pour toi Mon Frère, je fais mon mea culpa et je te dévoile ma face honteuse. Pour toi Mon frère, je dis tout ce que je fais semblant de ne pas entendre. Comprends que je veux te regarder dans les yeux, sans honte car…
Quand je ne trouve aucun mal à ce qu’on appelle nègre, Âazzi, Âabd ou Kahlouch, le jeune homme qui porte la couleur de ma terre sur sa peau, j’ai honte de moi…
Quand je souris, même gênée, lorsque ma mère me demande de ne pas lui ramener un mari noir, au fond, j’ai honte de moi…
Quand je ne commente pas lorsque mon voisin me raconte fièrement comment il s’est opposé à la location de l’appartement du 5e à un jeune couple noir, j’ai honte de moi…»

 Source: SlateAfrique.com

Morts à cause de leur couleur :

Tanger : des policiers accusés de viol sur une mineure ivoirienne, un enseignant congolais jeté d'un bus

FOOT : Montpellier -Sochaux 2 à 1


































dimanche 18 août 2013

MONTPELLIER :FOIRE DES ASSOCIATIONS LE 8 SEPTEMBRE


La 33ème édition de l'Antigone des Associations se tiendra le dimanche 8 septembre 2013


La 33ème édition de l'Antigone des Associations se tiendra le dimanche 9 septembre 2012
Voilà maintenant 33 ans que la Ville de Montpellier célèbre la vie associative et l'ensemble des bénévoles ; 30 ans que cette manifestation est une réussite avec ses 1200 associations présentes et ses 100 000 visiteurs.

Plus de 1 200 associations présentes pendant cette journée regroupées par thème :
  • musique et chant,
  • culture et vie des quartiers,
  • santé, social et citoyenneté, agriculture, animaux,
  • international, éducation, environnement et religions,
  • communication, entreprises et sciences,
  • anciens combattants,
  • jeux et loisirs,
  • sports,
  • randonnées, sports de montagne et sports mécaniques

Cette année, les stands des services de la Ville (Démocratie de proximité, maisons pour tous, centre communal d'action social, service jeunesse, directions des affaires culturelles...) ont été regroupés en un seul point dans un même espace pour renseigner le public.

12ème congrès du PDCI: Bédié Candidat à sa propre succession


Henri Konan Bédié a accepté d’être candidat à sa propre succession lors du prochain congrès du PDCI-RDA prévu le 3 octobre prochain. L’actuel président du PDCI a fait cette annonce au cours de la cérémonie de clôture du conclave de Yamoussoukro ce samedi 17 aout.

Ce conclave de Yamoussoukro, devrait permettre au Pdci de préparer son 12e congrès prévu les 3,4 et 5 octobre, en vue du renouvellement des instances du PDCI-RDA.
  

Source:Abidjan.net

COALITION : Malaise dans la coalition au pouvoir en Côte d'Ivoire



Le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), le grand allié du président Alassane Ouattara, a dénoncé samedi 17 août à Yamoussoukro "le manque de clarté" dans la mise en oeuvre des clauses de la coalition, et appelé à "décrisper les relations".
Dans un communiqué final, à l'issue d'un "conclave", le PDCI de l'ex-président Henri Konan Bédié, dit constater avec "amertume , le manque de clarté et de lisibilité dans l'exécution des clauses de l'alliance". Les 3 000 militants et responsables ont montré du doigt "la mise en chômage des cadres du parti par leur remplacement systématique" par des personnalités proche de M. Ouattara ou appartenant à "son groupe ethnique". L'ex-parti unique a appelé à "décrisper" les relations, et demandé "la promotion équilibrée et équitable" des cadres issus de cette alliance.

En 2005, MM. Ouattara et Bédié s'étaient alliés au sein du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP), qui avait remporté la présidentielle en novembre 2010 et permis à Alassane Ouattara d'être élu chef de l'Etat face à l'ex-président Laurent Gbagbo.

M. Gbagbo est détenu depuis fin 2011 à La Haye par la Cour pénale internationale (CPI), qui le soupçonne de crimes contre l'humanité, après son refus de céder le pouvoir à Alassane Ouattara après sa défaite à la présidentielle de novembre 2010, à l'origine de la crise qui avait fait quelque 3 000 morts.
Le PDCI a également noté "la lenteur du processus de réconciliation nationale" après la crise postélectorale de 2010-2011. M. Bédié, 79 ans, a donné "son accord", à l'issue de cette réunion, pour être le candidat du PDCI à la tête du parti au prochain congrès d'octobre. Ce "conclave" s'est déroulé à un moment où une forte grogne gagne le parti créé par Félix Houphouët-Boigny, "père de la Nation", au pouvoir de l'indépendance en 1960 jusqu'à sa mort en 1993. Le responsable de la jeunesse au sein du parti, Kouadio Konan Bertin ("KKB"), absent à cette réunion, réclame un changement de stratégie et va jusqu'à demander à M. Bédié de prendre sa retraite. Le congrès d'octobre devrait décider d'aligner ou non un candidat du PDCI contre M. Ouattara, déjà candidat à sa succession en 2015.

Source :lemonde.fr

vendredi 16 août 2013

DECES DE JACQUES VERGES


L'avocat Jacques Vergès est mort jeudi 15 août à l'âge de 88 ans. Le président du Conseil national des barreaux, Christian Charrière-Bournazel, a confirmé l'information donnée plus tôt dans la soirée. D'après lui, l'avocat, aussi médiatique que controversé, "avait fait une chute il y a quelques mois". "Il était très amaigri, marchait très lentement. Il avait des difficultés à parler mais intellectuellement était intact. On savait que c'étaient ses derniers jours mais on ne pensait pas que ça viendrait aussi vite".

Né en 1925 en Thaïlande d'une mère vietnamienne et d'un père français, le jeune Vergès a grandi à La Réunion, où son frère Paul a mené une longue carrière politique au sein du Parti communiste réunionnais. En 1941, le futur avocat s'engage dans les Forces françaises libres, combat en Algérie, au Maroc, en Italie et en France. Après la Libération, il adhère au Parti communiste, termine ses études de droit et s'inscrit en 1955 au barreau de Paris.
La guerre d'Algérie marquera un tournant. Jacques Vergès assure la défense de Djamila Bouhired, une jeune poseuse de bombes du FLN, pour laquelle il invente le concept de "défense de rupture". Au lieu de chercher à minimiser les faits et à obtenir l'indulgence des juges, l'avocat se pose en accusateur du système colonial.
La jeune femme, condamnée à mort, puis graciée, devient une héroïne nationale en Algérie. Jacques Vergès l'épouse, s'installe à Alger après l'indépendance, se convertit à l'islam. Le couple a deux enfants, mais l'avocat, qui se croyait promis à un grand avenir politique en Algérie, s'ennuie.
DES VACANCES "TRÈS À L'EST DE LA FRANCE"
Après un voyage en Chine, où il rencontre Mao, il disparaît en 1970, abandonnant femme et enfants. Ses "grandes vacances", comme il les appelle, vont durer huit ans. Qu'a-t-il fait ? Ou était-il ? Chez les Khmers rouges, auprès de son ami Pol Pot, qu'il a connu jadis au Quartier latin ? A priori non. Le plaideur n'aurait jamais exercé ses talents au Cambodge. Tout en séjournant de temps à autre à Paris sous une fausse identité, il aurait travaillé en Extrême-Orient pour le compte des services secrets chinois et se serait également rendu utile à leurs homologues français.
Le reste est mieux connu. Devenu soudainement riche, Jacques Vergès revient au grand jour en 1978, à Paris. L'avocat assure la défense d'individus comme le criminel de guerre nazi Klaus Barbie, le dirigeant khmer rouge Khieu Samphan, le philosophe négationniste Roger Garaudy ou le terroriste Carlos. Sa clientèle compte également des membres des mouvements d'extrême-gauche européens (Fraction armée rouge, Action directe), les activistes libanais Georges Ibrahim Abdallah et Anis Naccache ou le dictateur serbe Slobodan Milosevic. Il représentera également la famille Boulin, la fille de Marlon Brando, le capitaine Barril, le jardinier marocain Omar Raddad, le tueur en série Charles Sobrhraj et plusieurs dirigeants africains.
En marge du prétoir, Jacques Vergès a monté au théâtre un plaidoyer intitulé Serial plaideur et publié une vingtaine de livres, dont Dictionnaire amoureux de la justice, Le salaud lumineux, Justice pour le peuple serbe, Beauté du crime, La démocratie à visage obscène, Sarkozy sous BHL... En 2007, Barbet Schroeder lui a consacré un documentaire passionnant intitulé L'avocat de la terreur.

Source: lemonde.fr

dimanche 11 août 2013

PIQUE-NIQUE


PARC DE LA RAUZE-Montpellier










Un après-Midi tranquille et décontracté dans un cadre verdoyant !!

FOCUS

CORONAVIRUS: LE COVID_19

Appliquez les RÈGLES STRICTES