mercredi 23 février 2011

COTE D'IVOIRE : AMNESTY DENONCE LES ATTEINTES AUX DROITS HUMAINS




Côte d'Ivoire : les violences sexuelles et les autres atteintes aux droits humains doivent cesser

22 février 2011
Des atteintes aux droits humains, notamment des violences sexuelles et des homicides illégaux, sont commises à la fois par les forces fidèles au président ivoirien sortant Laurent Gbagbo et à son rival Alassane Ouattara, reconnu comme le vainqueur de l'élection par la communauté internationale, révèle une enquête d'Amnesty International.
Au terme de leur mission de quatre semaines en Côte d'Ivoire, les chercheurs d'Amnesty International ont rassemblé, dans une synthèse de six pages qui présente leurs premières conclusions, les récits de témoins et de victimes des violations des droits humains perpétrées depuis l'élection controversée de novembre 2010.

« Dans l'ouest du pays, des femmes nous ont raconté qu'elles avaient été victimes en janvier 2011 de viols collectifs dans leur maison, devant leurs enfants, tandis que d'autres avaient été violées en se rendant au marché. Des témoins ont également vu des hommes se faire rouer de coups et assassiner dans la rue, a indiqué Gaëtan Mootoo, l'un des deux chercheurs qui a mené les investigations.

« Si les yeux du monde se sont détournés de l'impasse politique dans laquelle est plongée la Côte d'Ivoire, force est de constater que les violences se poursuivent.

« Tant les forces de sécurité que les Forces nouvelles (ancien groupe armé d'opposition qui contrôle le nord du pays) se livrent à des atrocités et leurs victimes n'ont aucun moyen d'obtenir justice. Ce règne de la terreur doit prendre fin. »

On estime à 70 000 le nombre de personnes qui ont été contraintes de fuir leur foyer dans l'ouest du pays et de s'installer dans des camps pour personnes déplacées ou des camps de réfugiés dans les pays voisins, alors que les tensions entre groupes ethniques sont exacerbées par l'impasse politique qui oppose Laurent Gbagbo à Alassane Ouattara.

Dans l'ouest du pays, dans certaines régions, des habitants ont raconté que les attaques contre les civils étaient ciblées en fonction de l'appartenance ethnique et des affiliations politiques présumées.

Dans la ville de Duékoué, à 500 kilomètres à l'ouest d'Abidjan, les chercheurs d'Amnesty International ont constaté que de nombreuses personnes ont été tuées, plusieurs femmes violées et des centaines d'habitations incendiées et pillées au mois de janvier.

Une femme a raconté aux délégués d'Amnesty International l'agression dont elle a été victime le 3 janvier :

« Ils sont arrivés tôt le matin… armés de couteaux et de machettes. Ils ont brisé la porte et m'ont empoignée. Leurs visages étaient noircis au charbon.

« Sans prononcer un mot, ils se sont jetés sur moi et m'ont fait des choses horribles. Ils m'ont violée, à trois ou quatre. Ils ont incendié ma maison – la maison de la famille – et ont tué mon frère.

« Ils ont tout dévalisé dans ma boutique avant d'y mettre le feu. Nous nous sommes enfuis le jour même. »

Amnesty International exhorte les forces de sécurité fidèles à Laurent Gbagbo et les Forces nouvelles à ordonner publiquement et sans ambiguïté à leurs membres de respecter les droits humains. En outre, elles doivent faire savoir que toute personne reconnue responsable d'avoir ordonné ou commis des violations de ces droits, ou de s'être abstenu de les empêcher, sera tenue de rendre compte de ses agissements.

Par ailleurs, il importe que les forces de sécurité ivoiriennes révèlent le sort réservé à tous ceux qui ont « disparu » après leur arrestation.

« La crise actuelle en Côte d'Ivoire se traduit par un espace de non-droit en termes de droits humains, a estimé Gaëtan Mootoo.

« Les très graves atteintes aux droits humains que nous avons constatées à Abidjan et dans l'ouest du pays doivent faire sans délai l'objet d'enquêtes impartiales. »

Téléchargez le rapport sur le site en cliquant sur Amnesty ci-dessous:

Source : AMNESTY

lundi 21 février 2011

COTE D'IVOIRE : DECOURAGEMENT N'EST PAS IVOIRIEN






Pour le Pays

Pour le peuple

Pour l'Avenir

Pour Vos enfants

Pour vos Parents

Pour vos Ancêtres

Pour le Christ  miséricordieux
Il a donné sa Joue, Sa VIE pour NOUS.

Revenez à des meilleurs sentiments car vous l'avez déjà fait :  

Découragement n'est pas Ivoirien.

Ca va aller ou bien !!!!!

LIBYE : UNE HEREDITE AUTOCRATIQUE-42 ANS DE REGNE !! ENCORE UN ENFANT GATE


TEL PERE-TEL FILS

Seïf Al-Islam, a affirmé dimanche 20 février dans la soirée, dans une allocution télévisée que le peuple devait choisir soit de construire une "nouvelle Libye" soit de plonger dans la "guerre civile", alors que les affrontements ont gagné la capitale Tripoli.
"La Libye est à un carrefour. Soit nous nous entendons aujourd'hui sur des réformes, soit nous ne pleurerons pas 84 morts mais des milliers et il y aura des rivières de sang dans toute la Libye", a déclaré Seïf Al-Islam.

suite Article: NouvelObs


Côte d'ivoire: Le système sanitaire replonge tragiquement à nouveau


Le système sanitaire ivoirien avait pris un coup avec la longue crise militaro politique. A l’éclatement de la crise en septembre 2002, plusieurs partenaires internationaux qui soutenaient les différents programmes de santé vont stopper leur collaboration. C’est la descente aux enfers pour le système sanitaire Ivoirien. Le gouvernement n’arrive plus à faire face aux lourdes
charges des hôpitaux, ni à financer les programmes de santé. Conséquence : les districts sanitaires abandonnés à eux mêmes, n’existaient que de nom. Les hôpitaux ne disposaient plus de plateaux techniques relevés. Les malades et les médecins se plaignaient du manque de médicaments et de matériels techniques dans les centres de santé. Les différents programmes nationaux (paludisme, tuberculose, VIH/SIDA, ulcère de buruli, etc.), étaient tous en berne. Cette époque restera une des plus noires de la santé en Côte d’ Voire.

Le pays occupe le triste rang de 1er en matière de mortalité maternelle (543 décès pour 100 000 naissances vivantes) et VIH SIDA (le taux de séroprévalence était de 7,8%) dans la sous région. L’épidémie de poliomyélite qui était en phase d’éradication ressurgit. Mettant à l’eau les efforts de plusieurs années de lutte. Le pays doit également faire face à des épidémies de méningite au
nord, de fièvre jaune, de choléra et de tétanos néonatal. Débordé, le gouvernement essaie tant bien que mal d’apporter des réponses. Mais, en plus d’être sporadiques, ces interventions sont insuffisantes. On en était là, lorsque l’espoir renait véritablement avec la signature des différents accords entre les protagonistes de la crise et l’entrée de l’opposition dans le gouvernement. Les partenaires internationaux (Banque Mondiale, OMS, UNICEF) qui avaient suspendu leur collaboration reviennent. Les choses commencent à bouger dans le bon sens. Grâce aux appuis financiers des partenaires, de nombreux districts sanitaires, tant à Abidjan qu’à l’intérieur
sont réhabilités. La collaboration entre le ministère de la santé et les ONG internationales permet la mise en route de différents programmes de grandes envergures. Il s’agit entre autre des programmes nationaux de lutte contre le paludisme, le VHI/ SIDA associé à la tuberculose et l’ulcère de burulli. Les campagnes de vaccination également reprennent. L’on peut citer pèle mêle
les campagnes nationales de vaccination contre la poliomyélite associée à l’administration de vitamine A et B pour les enfants de moins de 5 ans, la fièvre jaune, le tétanos néonatale et la méningite. A cela s’ajoute la fortification des aliments de grande consommation. Notamment la farine et l’huile de palme.

Toujours avec l’aide de ses partenaires, la Côte d’Ivoire va mener une lutte farouche contre le VIH/SIDA. Dans la lutte contre la pandémie du siècle, le gouvernement américain a été particulièrement actif en déboursant des dizaines de millions de F CFA pour faire reculer le fléau.

Des acquis menacés
A travers le PEPFAR (plan d’urgence des gouvernements américains) et d’autres ONG américaines telles que Alliance Internationale, Aconda, EGPAF (Elisabeth Glaser Pediatric AIDS Foundation), les centres de dépistages volontaires du VIH/SIDA sont multipliés à travers le pays. Dans tous les districts sanitaires, sont installés des PTME (prévention de la transmission mère enfant).

La lutte acharnée va porter ses fruits. En 2006, l’enquête sur les indicateurs du VIH réalisée par l’Institut National de la Statistique (INS) révèle que le taux de séroprévalence a chuté à de 10 à 4,7%. Avec le soutien du PEPFAR, les ARV sont distribués gratuitement aux malades. Des efforts considérables sont également faits dans le cadre de la lutte contre le paludisme chez les femmes
enceintes et les enfants de moins de 5 ans. Ces couches vulnérables bénéficient de « traitement de faveur dans les hôpitaux ». Les femmes enceintes reçoivent gratuitement les moustiquaires imprégnées d’insecticides. Ainsi, petit à petit, le système sanitaire commence à se retrouver. Au Programme élargi de vaccination (PEV), l’espoir d’une éradication définitive de la poliomyélite n’était
plus loin, car les objectifs en matière de couverture vaccinale avaient été largement atteints. Pour ce qui est de la fièvre jaune, les districts qui n’avaient pas atteint la couverture ont été rattrapés grâce à des campagnes ciblées. Il en est de même pour le tétanos néonatal.

Aujourd’hui, la dynamique s’est arrêtée. Tous les acquis sont menacés.

Avec la crise post électorale, c’est un retour à la case départ pour le système sanitaire ivoirien.  N’étant pas reconnu par la communauté internationale, celle-ci a décidé de suspendre toute collaboration avec les institutions ivoiriennes jusqu’à ce que le président élu ait l’effectivité de tout son pouvoir. Conséquence de cette situation, les
différents programmes sont à nouveaux gelés. La vaste campagne de lutte contre le paludisme, organisé par l’ONG PSI (population service international) et qui devait débuter en décembre 2010 avec la distribution d’environ un million de moustiquaires imprégnée à longue durée aux ménages a été ajournée. Les ARV par manque, ne sont plus distribués aux malades. En effet, du fait de l’embargo sur le port autonome d’Abidjan, la pharmacie de la santé publique (PSP) n’arrive plus à être approvisionnée en médicaments.

Epidémie

Toute chose qui crée des difficultés aux médecins. « Les pharmacies des hôpitaux ne sont plus approvisionnées convenablement. Lorsque nous prescrivons des médicaments aux parents des malades, ils n’arrivent pas à avoir tous les médicaments dans les pharmacies des hôpitaux. Ils sont donc obligés de se rendre dans les officines privées et cela les revient excessivement
cher », témoigne un médecin en poste au CHU de Treichville. Selon ce dernier, l’embargo sur le port d’Abidjan a de lourdes conséquences sur le système sanitaire. « La majorité de nos médicaments proviennent de l’extérieur.

Notamment de l’Inde, de la Belgique et de la France. Il est donc clair que l’embargo ne nous arrange pas du tout. Il faut que les autorités essayent de voir de ce côté », plaide-t-il. La crise a également des répercussions sur la motivation des agents de santé. « Les agents n’étaient plus réguliers au
travail. La situation prenait des proportions alarmantes, à telle enseigne que les inspecteurs ont été obligés de faire des descentes sur le terrain pour vérifier la présence des uns et des autres », souligne un agent de santé.

La situation épidémiologique a également commencé à se dégrader. L’épidémie de cholera déclenchée dans la dernière semaine du mois janvier a fait officiellement 7 morts. Et la situation, selon un responsable de l’Institut National de l’Hygiène Publique (INHP), est encore très loin de s’améliorer.

Cette épidémie est la conséquence de l’insalubrité généralisée de la ville d’Abidjan avec le retour des ordures ménagères sur les trottoirs. Situation que le pays avait déjà connue au tout début de la crise militaro politique. En fin de compte, c’est donc sans surprise que l’on revient à la case départ. Ne dit-on pas que les mêmes causes produisent les mêmes effets ?

www.abidjan.net
Source : OMS

samedi 19 février 2011

ALGERIE,YEMEN, LIBYE, DJIBOUTI, MAROC .. : LE SOUFFLE DES DROITS INALIENABLES


source : Photo du monde.fr

EBURNIE : DEDICACE

Eburnie Mon Amour


Loin de toi mais proche du Cœur
Laissé à l'abandon par des hommes indignes de ta Terre
Des flots de sang abreuve ton corps.

Des innocents tombés par la faute de marionnettistes égoïstes
A L'aube de la maturité, l'immaturité de tes fils et filles
t'ont entrainé dans le chaos


La paix tant chantée, l'hospitalité tant clamée
se sont transformées en souffrance, en haine
tes enfants innocents meurent inutilement

Attaqué par la haine, les armes, les maladies
Eburnie mon Amour, nous t'implorons
Redonne de la clairvoyance à ces guides qui nous martyrisent.

L'UNITÉ ne peut venir que par le sens de l'intérêt général
L'égoïsme,l'intérêt ethnique ou religieuse ne peuvent servir de boussole
Tes fiers enfants ne sont pas des moutons qui veulent aller à l'abattoir

Tu es Une et Indivisible
Du Nord au Sud
de L'est à L'ouest

Tu es et seras toujours Eburnie
Notre sang purifiera ton corps sali, avili
Oui nous refusons ton éclatement,ton ethnocentrisme

Patients comme le temps nous le serons
Martyrs nous le serons
Fidèles en des valeurs intemporelles
Nous te redonnerons ta dignité

Mopao l'Insoumis.

vendredi 18 février 2011

FORUM DE BAMAKO: INQUIETUDE DE LA SITUATION EN CI


Les participants à la 11e édition du Forum de Bamako, qui se veut "un petit Davos africain", se sont déclarés "très inquiets" des conséquences de la crise politique et économique en Côte d`Ivoire dans le reste de l`Afrique de l`ouest.


"Je suis inquiet car il n`y a pas de développement sans paix, il n`y a pas d`entreprises solides dans un environnement de guerre, je suis inquiet pour les populations ivoiriennes et celles des pays voisins", a déclaré à l`AFP Abdoulah Coulibaly, vice-président de la Fondation du Forum de Bamako (FFB).


Source:AFP (Abidjan.net)

INTERNET EN AFRIQUE : LA FIN DU DESERT NUMERIQUE ?

Pendant des années, l'Afrique n'a eu qu'un lien très ténu avec Internet : un seul câble sous-marin, le South Atlantic 3 (SAT-3), reliait le sud de l'Europe à l'ouest du continent africain. Sept ans plus tard, de nombreux projets ont été lancés, avec la promesse d'une augmentation significative des débits pour les usagers. Depuis 2009, le câble de fibre optique Eastern Africa Submarine Cable System (EASSy), long de 10 000 kilomètres, alimente la côte est africaine. Et deux gros projets, le Globacom-1 et le MainOne, desservent désormais l'ouest du continent, jusqu’à Lagos, au Nigeria. D'autres, comme le West African Cable System (WACS) ou l'Africa Coast to Europe (ACE), devraient également être opérationnels en 2012.



"Depuis 2009, le paysage de la connexion du continent au reste du monde est en train de changer radicalement, à tel point que l'on se demande si on ne passe pas d'un extrême à l'autre, d'une situation de pénurie à une situation de surcapacité en ce qui concerne les câbles à fibre optique", analyse Annie Chéneau-Loquay, directrice de recherche au CNRS, dans une étude intitulée L'Afrique au seuil de la révolution des télécommunications






Pose d'un câble en fibre optique sous-marin
 
Source:http://www.lemonde.fr/

MEIWAY: LE ROI DU ZOBLAZO CHEZ SEM MR H.K BEDIE


Il faut qu’on s’unisse, il faut qu’on se rassemble pour travailler ensemble parce que ce ce pays a besoin de toutes ses forces vives. Je ne veux pas avoir un discours partisan, mais soutiendrai toujours tous ceux qui veulent reconstruire la Côte d’Ivoire avec des idées positives, mais pas des idées de division. Je n’ai pas peur, sachez que j’assume mes idées ».

Source: connectionivoirienne.net

mercredi 16 février 2011

VISAS, FERMETURE DE BANQUES : LA QUADRATURE DU CERCLE





PARDONNEZ , ON FAIT COMMENT, NOUS ON VEUT RETROUVER NOTRE PAYS !!!

VOTRE AFFAIRE EST TROP COMPLIQUÉE !!


NOS PARENTS FONT COMMENT POUR TOUCHER LEUR ARGENT?


En Côte d’Ivoire, depuis cette semaine six banques ont fermé temporairement ou suspendu leurs opérations: Elles représentent environ deux tiers de l’actif bancaire ivoirien, 77% des comptes et deux-tiers des crédits. La plus grande parmi elle, Société Générale (SGBCI) représente 25% de l’actif total (659 milliards 880 millions CFA), et 271 mile 928 comptes (2009), tandis que Ecobank, qui a annoncé sa fermeture ce vendredi 18 février avait 139.000 comptes et un actif de 341 milliards 775 millions CFA. La BICICI avait environ 91.000  comptes en 2009. La Bicici et la SGBCI pèsent à elles seules près de 55% du marché bancaire ivoirien. L’Etat de Côte d’Ivoire vire chaque mois 21 milliards CFA (dont 14 milliards dans les comptes de la seule SGBCI) et dans ceux des deux autres banques. La « petite  Citibank » joue elle aussi un rôle stratégique car elle est  le plus grand financier du secteur pétrolier et gazier(SIR) et le  troisième financier du secteur du cacao. Ecobank finance également le  secteur gazier et pétrolier.Associated Press rapporte le 16 février que sur 13 banques visitées, 11 étaient ouvertes mais seulement quatre d’entre  elles avaient des guichets automatiques en état fonctionnement. Aujourd’hui,  ce vendredi aucun ATM ne fonctionne selon un correspondant de connectionivoirienne.net joint par téléphone depuis Abidjan.
Avec strategico.org

DITES NOUS Où ON VA ?
SÉCESSION OU GUERRE OU UNITÉ?

samedi 12 février 2011

ALGERIE : LE SOUFFLE DE LA LIBERTE EN MARCHE !!









LE VENT DE LA LIBERTÉ VA T'IL RENVERSER LE RÉGIME AUTOCRATIQUE D'ALGER APRES CEUX DE TUNIS ET DU CAIRE?

GRANDE MANIFESTATION CE SAMEDI 12 FÉVRIER LANCÉE PAR LA SOCIÉTÉ CIVILE

vendredi 11 février 2011

EGYPTE : LE SOUFFLE DE LA LIBERTE EMPORTE LE RAIS D'EGYPTE


LE PEUPLE ÉGYPTIEN A EU RAISON DU RAIS HOSNI MOUBARAK QUI A DÉMISSIONNÉ








 LE VIRAGE DE L'AUTOCRATIE A LA DÉMOCRATIE SERA T'IL A LA HAUTEUR DES ASPIRATIONS DES PEUPLES TUNISIENS ET ÉGYPTIENS ?

ESPÉRONS LE POUR TOUS LES MARTYRS QUI ONT DONNE DE LEUR VIE !!!

mardi 8 février 2011

NIGER : CRIQUET EN APERITIF !!!


Vente et consommation de criquets : le criquet, plus cher que les céréales!

Le Criquet se vend et s'achète comme des petits pains surtout  à Niamey où il est acheminé par des cargaisons de sacs en provenance de l'intérieur du pays, plus précisément dans la région de Dogondoutchi, de Ouallam et de Maradi. Selon les vendeurs rencontrés au marché de Katako où se font les grandes transactions de vente de criquet, le prix d'un sac de criquets dépend de son contenu. Ainsi un sac de criquets peut coûter jusqu'à 50 000 F CFA.

Article complet:http://www.actuniger.com

vendredi 4 février 2011

EGYPTE : L'ASCENSION D'UN PEUPLE A SES DROITS INALIENABLES


CE VENDREDI SERA MARQUE PAR UNE MOBILISATION DECISIVE POUR FAIRE PARTIR LE RAIS D'EGYPTE.

30 ANS DE POUVOIR , DE QUEL DROIT ET POUR QUEL RÉSULTAT ?

mercredi 2 février 2011

L'EXIL :REFUGIES IVOIRIENS


MAMIE PARDON !!!!!!

Près de 30 000 personnes, selon le Haut Commissariat aux réfugiés (HCR), ont fui les violences post-électorales et les tensions en Côte d’Ivoire. La plupart des réfugiés ivoiriens sont hébergés dans des villages le long de la frontière dans le comté de Nimba. Une équipe MSF dispense maintenant des soins de santé à ces réfugiés.


MERCI AU HCR , MEDECINS SANS FRONTIERES, et à tous les anonymes ..

FOCUS

CORONAVIRUS: LE COVID_19

Appliquez les RÈGLES STRICTES