dimanche 29 août 2010

Solidarité: MURVIEL LES BEZIERS OFFRE DES LITS A L'ORPHELINAT DE BINGERVILLE GRACE à DK COEUR D'AFRIQUE


Exemple à suivre:

Midilibre - Au mois de janvier, Norbert Etienne, maire conseiller général, Philippe Batigne, directeur de la résidence Les Tilleuls, les membres du conseil municipal et Roland Gaset, vice président du CCAS, ont remis symboliquement 43 lits et la literie à Daouda Karaboué, président de l'association DK Coeur Afrique, pour les orphelins de Bingerville, en Côte d'Ivoire.

« L'évolution de la dépendance nécessite le changement de literie. La réglementation oblige dorénavant des lits médicalisés au lieu des lits confortables en bois, en bon état. Grâce au lien étroit entre Philippe Batigne et Daouda Karaboué, gardien de l'équipe de France de handball, les lits ont été stockés et ont été remis par DK Coeur Afrique à l'orphelinat de Bingerville », explique Norbert Etienne. DK Coeur Afrique a géré le transport des dons entreposés dans des conteneurs. Le maire a missionné Philippe Batigne pour s'assurer de l'arrivée en bonne et due forme à l'orphelinat des lits et représenter le maire et le CCAS auprès des autorités locales et de la presse. Les conteneurs sont arrivés sur la base de l'armée de l'air. Avec l'aide des amis de Daouda, les dons ont été transférés dans des camions et déposés après plusieurs heures de route à l'orphelinat de Bingerville.

En trois jours, tous les lits ont été remontés. Pour ces enfants qui dorment à terre sur des morceaux de mousse, ce moment était magique, inoubliable. C'est une transformation de leur vie quotidienne qui va contribuer à leur confort. La directrice était émue.

Mme Koné-Houenou a adressé à Norbert Etienne un courrier chaleureux de remerciements : « Belle et noble initiative. Puisse le Tout Puissant vous bénir et vous le rétribuer au centuple ». Ces lits stockés et oubliés vont vivre une deuxième vie. Les lits ont supplanté les vélos. Le village de Murviel-lès-Béziers, représenté sur place par Philippe Batigne, pour cette action humanitaire va être honoré par de nombreuses cérémonies officielles. Remise des prix d'excellence aux enfants devant le ministre, le maire, la Directrice Mme Koné-Houenou et Daouda Karaboué. Autre moment fort, la pose de la plaque, témoin de l'action sur les murs de l'orphelinat.

Les 200 enfants restent dans cet établissement jusqu'à leurs 15 ans. D'autres dons ont été faits par DK Coeur d'Afrique : à la pouponnière dispensaire Marie-Thérèse Houphouet-Boigny, l'école de Cocody à Abidjan.

DK Coeur d'Afrique oeuvre tout au long de l'année, en France, pour récolter des fonds afin de créer, d'améliorer, les terrains et les équipes de handball, de l'académie de handball (l'école, la santé, le social et l'éducation) en Afrique.


Source: www.abidjan.net

mercredi 25 août 2010

Association : Chymère ou Réalité



Si le but voulu est noble,  les actions, à mettre en œuvre pour passer de la parole aux actes, paraissent insurmontable et nécessitent un renouvellement de la conscience malgré les expériences précédentes et la situation qui prévaut actuellement au pays.


En effet que faut-il faire pour arriver à marcher d’un même pas vers un idéal commun qui est celui de la fraternité, de l’unité, du mieux vivre ensemble pour la majorité. Car malgré les exemples patents d’autres communautés ou associations, nous sommes toujours face à la division, à l’intérêt particulier, à la déception de manière générale.


Je tiens à préciser que je ne vise personne mais j’ai un sentiment diffus qu’avancer d’un même pas est chose impossible pour nous mais faisable pour les autres pourquoi ?


Est-ce une malédiction ou une impossibilité conceptuelle d’imaginer de travailler tous ensemble pour un intérêt commun, accepté par tous et voulu par tous ?


Car au début tout semble magnifique, l’exubérance, la joie mais au fil du temps on se rend compte que des intérêts personnels ou inconnus font surface brisant l’élan de départ.


Ce qui explique que bon nombre de personnes se retirent de la vie associative par dépit car les années passent, nous vieillissons mais la mentalité reste inchangée, faut il toujours que l’extérieur soit le moteur de notre devenir.



L’idée de groupe humain et les respects des lois communes sont des pré- requis à toute idée de développement, nous ne pouvons pas espérer évoluer si nous ne nous aimons pas, si nous nous méfions les uns des autres. Le respect des règles communes acceptées par tous est indispensable à toute vie en collectivité.


Nous préférons les autres à nous même, nous préférons copier les autres dans le matérialisme excessif oubliant les valeurs fondamentales de l’être humain.

Nous envions les autres mais nous sommes incapables de suivre le même chemin qu’eux vers la construction d’un mieux vivre ensemble.


Les valeurs du travail, de l’intérêt collectif, du bien être de tous pour tous sont bafouées par nous alors que à l’extérieur nous envions les sociétés structurées au service de la population. Mais ces sociétés ou associations sont composés d’hommes et de femmes qui ont compris et mis en œuvre les politiques d’intérêt général. Pourquoi donc nous sommes dans l’impossibilité de défendre l’intérêt général du groupe, l’avenir de la société, au lieu de vendre notre âme à des vautours assoiffés par l’intérêt particulier.


Si nous ne sommes pas fiers  de notre identité et ne défendons pas les intérêts politiques, économiques, sociaux, culturels et environnementaux par des actes concrets et non pas par la rhétorique, ne nous attendons pas à un futur radieux car nos enfants et petits enfants continueront à essuyer les plâtres d’une conscience avachie et déstructurée.

Se Respecter commence par le respect des autres.


Association ou État même combat ?

mardi 24 août 2010

Concours BAGNON 2010: Pour VOUS Mesdames, Mesdemoiselles!!

BAGNON 2010 a vu l'élection de TRA ZIE BI ÉPIPHANE



PS: Ma candidature n'a pas été retenue  mais je suis beau perdant !!!!

OPINION:Lettre ouverte au président de la République



par Jacques Hochmann, professeur émérite de psychiatrie à l'Université Claude Bernard ( Lyon).
Monsieur le Président,
Comme vous je suis un fils d'immigré (polonais, en ce qui me concerne). Mon père est venu étudier en France, en 1925, il est retourné se marier au pays, en 1932. Je suis né en France, en 1934 et nous avons, mes parents et moi, été naturalisés français, en 1936, sous le Front Populaire.

Bien que mon père, ingénieur dans une usine métallurgique, ait participé à l'effort d'armement de la France et ait toujours été respectueux de la loi, nous avons, en 1942, en tant que juifs, été déclarés déchus de la nationalité française par le Gouvernement de Vichy, et, de ce fait, mis en danger immédiat d'être arrêtés et déportés. Nous n'avons dû la vie, comme beaucoup d'autres juifs résidant en France, qu'au dévouement et parfois à l'héroïsme de ceux qui, alors, nous ont cachés et aidés, en nous procurant de faux papiers et en nous hébergeant.

Vous êtes né après cette sombre époque. Vous n'avez pas connu, dans la presse et à la radio, le déchaînement de la haine xénophobe. C'est la seule excuse que je peux trouver à ce que j'oserais appeler votre irresponsabilité, si je n'étais tenu au respect par la haute fonction que vous incarnez.
Vous n'êtes pas seulement, en effet, le chef d'une majorité qui conduit une politique choisie par les électeurs. Vous occupez une place symbolique, que reconnait la loi, en vous déclarant au dessus d'elle pendant la durée de votre mandat. En se dotant d'un Président de la République, en décidant, il y a presque un demi-siècle, de l'élire au suffrage universel, pour renforcer son image et son pouvoir, le Peuple souverain s'est cherché à la fois un guide à moyen terme et un arbitre transcendant les passions populaires.

Celles-ci sont promptes à s'échauffer, en particulier dans les périodes de crise économique, comme celle que nous traversons. La passion conduit à l'abolition de la réflexion, au passage à l'acte, à la décharge immédiate des désirs les plus primitifs. Quoi de plus passionnel, de plus irréfléchi et de plus primitif que la haine ou la peur de l'étranger. Surtout, s'il vit parmi nous, s'il s'infiltre à travers des frontières, érigées pour nous protéger, s'il viole ainsi continuellement le sentiment du chez-soi, l'étranger, quoi qu'il fasse ou ne fasse pas, est, en lui-même, une source potentielle d'insécurité. Il engendre inévitablement, dans les sociétés humaines archaïques comme dans les sociétés animales, la violence.

Dans les moments difficiles, il devient le bouc émissaire. Le Juif, le Romanichel et aujourd'hui le Noir ou le Beur, quelle que soit sa nationalité formelle, incarne ainsi, en lui-même, le danger voire le mal, indépendamment de son comportement objectif.

Il suffit de lire actuellement les commentaires des internautes et de suivre les sondages d'opinion pour s'assurer du large écho positif rencontré par vos propositions de Grenoble et par leurs applications immédiates. Vous surfez sur une vague porteuse. Mais c'est justement ce qui m'inquiète. L'histoire n'est pas avare d'exemples qui montrent jusqu'où peut conduire le débordement passionnel et avec quelle facilté peut craquer l'enveloppe de civilisation qui tente de les contenir, en s'appuyant sur les valeurs de solidarité, de tolérance et d'hospitalité qui font partie aussi de l'héritage humain
.
Par delà votre personne, vous êtes le représentant de ces valeurs, vous avez pour mission, et vous l'avez rappelé dans un de vos anciens discours, en citant Edgar Morin, de faire œuvre de civilisation. Un Président de la République doit renforcer le sentiment de sécurité en faisant un travail de pédagogue (ce qu'avait fait votre prédécesseur François Mitterand, en demandant au Parlement d'abolir la peine de mort, contre le sentiment prévalent dans la majorité de la population).
Les réponses au jour le jour que vous donnez, avec la fougue qui vous caractérise, aux problèmes actuels d'insécurité sociale, économique et d'ordre public, n'ont rien de rassurant. Vous avez déclenché, justifié par avance, des réflexes sociaux que vous risquez de ne plus maîtriser. Le Front national se réjouit de voir valider, au plus haut niveau de l'État, certaines de ses propositions.
Comble d'ironie, c'est d'un pays sans grande tradition démocratique, la Roumanie, où, comme d'ailleurs en Hongrie et en Bulgarie les Roms n'ont jamais joui d'un statut enviable, que vous viennent aujourd'hui les accusations de populisme et l'appel à une réflexion plus calme et plus inscrite dans la durée.

Veuillez agréer, monsieur, le Président, l'expression de la haute considération dans laquelle je tiens votre fonction.

Source: Article du Monde.fr

lundi 23 août 2010

La Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition

La Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition est célébrée le 23 août de chaque année. C'est dans la nuit du 22 au 23 août 1791 qu'a commencé à Saint-Domingue (aujourd'hui Haïti et République dominicaine) l'insurrection qui devait jouer un rôle déterminant dans l'abolition de la traite négrière transatlantique. La Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition vise à inscrire la tragédie de la traite dans la mémoire de tous les peuples. Conformément aux objectifs du projet interculturel "'La route de l'esclave", elle doit offrir l'occasion d'une réflexion commune sur les causes historiques, les modalités et les conséquences de cette tragédie, ainsi que d'une analyse des interactions qu'elle a générées entre l'Afrique, l'Europe, les Amériques et les Caraïbes. Le Directeur général de l'UNESCO invite les Ministres de la culture de tous les États membres à organiser des actions en associant l'ensemble des populations de leurs pays et en particulier les jeunes, les éducateurs, les artistes et les intellectuels.

lundi 16 août 2010

RELIGION : HOMELIE de Mgr KUTWA:" Les Ivoiriens vendront leur conscience pour des miettes"


Les fidèles catholiques sont venus de différents quartiers de la capitale économique samedi soir pour prier au sanctuaire marial d`Adjamé et écouter le message de l`archevêque d`Abidjan, Mgr Jean Pierre Kutwa.

La corruption qui gangrène la société ivoirienne était au cœur de l`homélie prononcée à l`aube de ce dimanche d`assomption au sanctuaire marial d`Attécoubé par l`archevêque d`Abidjan. Mgr Jean Pierre Kutwa a dénoncé la désintégration des valeurs traditionnelles basées sur le bien communautaire. Selon lui, l`intérêt de la communauté jadis prôné, a laissé la place à l`intérêt particulier avec des slogans et des pratiques qui deviennent un nouveau code de conduite. « L`on s`enrichit sans scrupule. Les slogans comme « l`argent n`a pas d`odeur ni de couleur », « il faut respecter le contexte », « il faut graisser le circuit », « il faut parler français » et toute la litanie que vous connaissez et qui courent dans les bureaux et les instances politiques ont pour corolaire un nouveau code de conduite dans la pratique au quotidien »,a déploré le prélat, avant de poursuivre : «ainsi le personnel de la santé, malgré son salaire de fin de mois peut laisser mourir un patient parce qu`il attend que celui-ci lui donne quelque chose avant de s`occuper de lui. Le fonctionnaire payé pour faire un travail réclamera toujours quelque chose pour faire avancer le dossier. L`élève ou l`étudiant réussira à son concours avant même de le passer parce qu`il aura donné de l`argent à des inspecteurs véreux. Plus grave encore, avec les élections qui approchent, des vendeurs d`illusions viendront à vous pour acheter votre conscience à coups de billets de banque. Certains parmi nous vendront leur conscience pour des miettes. » Le guide religieux a appelé les Ivoiriens à ne pas se laisser entrainer par la pression de ce monde. « Oui, je sais que la pression de notre monde est si forte que de véritables structures de péchés se sont installées. Parmi celles-ci, nous pouvons noter la corruption, le mensonge, les demi-vérités. Si vous dénoncez la corruption dans les bureaux, à la police, sur les routes, à la justice, à la douane, etc… c`est votre droit le plus strict. Mais dans le même temps apprenez à renoncer aux privilèges, aux passe-droits, aux interventions intempestives qui minent nos institutions », a-t-il prôné. Pour lui, l`on ne doit plus ceux qui sont contre ces maux ne doivent demeurer dans le silence.

«Des agents de santé laissent mourir les malades…»

« Si vous dénoncez, si vous renoncez, alors vous serez les témoins et les collaborateurs de la vérité qui annonce un monde nouveau. Vous deviendrez alors témoins et porteurs de la bonne nouvelle », a souhaité Mgr Kutwa. L`archevêque d`Abidjan a enseigné aux nombreux fidèles présents que l`homme n`a pas été créé et jeté dans le monde sans boussole et soumis à toutes les intempéries. L`identité humaine d`image et de ressemblance de Dieu, dit-il, fait de l`homme un fils de Dieu, voire un Dieu qui doit respecter sa dignité. « Respecter sa dignité, c`est témoigner de Dieu au milieu de nos frères et sœurs. C`est être sel et lumière et le rester quelque soient les épreuves », a prôné l`officiant. Et de que malgré l`opposition de toutes les forces du mal, malgré le serpent à sept têtes et dix cornes St Jean dans le texte de l`Apocalypse certifie que la femme a pu mettre au monde son enfant. « Frères et sœurs, rappelez-vous, celui qui met sa confiance dans le Seigneur et marche selon ses voies ne sera jamais déçu. Marie a placé sa confiance dans le Seigneur, elle a été glorifiée », s`est réjouit Mgr Kutwa. En se tournant vers une nouvelle à l`occasion de cette fête de l`assomption vers la bienheureuse, chaque chrétien doit, selon lui, se découvrir pécheur et mesurer la distance, le chemin qui lui reste à parcourir, la conversion qui lui reste à faire pour avoir le visage qui doit être le sien. « En regardant Marie, nous découvrons que cela vaut la peine de se convertir même quand on se déclare croyant. La fête de l`assomption invite donc l`Église et chacune de nos vies à rectifier dans la joie, sa visée et sa trajectoire, à se réajuster dans la joie, à la mission qui est la même que celle de Marie» a conclu Jean Pierre Kutwa

Cissé Sindou


Publié le lundi 16 aout 2010   |  Nord-Sud
Source: Abidjan.net

samedi 7 août 2010

Cinquantenaire : LE JOUR SE LEVE

L’Abidjanaise


Salut ô terre d'espérance
Pays de l'hospitalité
Tes légions remplies de vaillance
Ont relevé ta dignité
Tes fils chère  Côte d'Ivoire
Fiers artisans de ta grandeur
Tous rassemblés pour ta gloire
Te bâtiront dans le bonheur
Fiers Ivoiriens,
Le pays nous appelle
Si nous avons dans la paix
Ramené la liberté
Notre devoir sera d'être un modèle
De l'espérance promise à l'humanité
En forgeant unis dans la foi nouvelle
La patrie de la vraie fraternité






mardi 3 août 2010

CINQUANTENAIRE : TROP DE REFLEXION POUR RIEN


Donnant son point de vue sur les festivités du cinquantenaire de la Côte d’Ivoire, dont Yamoussoukro la capitale politique et administrative, abritera un colloque international du 1er au 05 août prochain, Dr Brou Degré, Directeur Administratif et Financier de l’INP-HB, a dit ne pas comprendre l’opportunité d’une telle rencontre.

Car, « il y a eu trop de colloques et de séminaires dans ce pays » ; a-t-il estimé, avant de s’interroger sur ce qu’on a fait des différentes résolutions qui en ont découlées.
« Je ne comprends pas l’esprit du cinquantenaire. On a mené trop de réflexions pour rien. Les résolutions et recommandations n’ont pas servi à quelque chose. Tous les problèmes sont réels. Nos routes se dégradent, on le voit. La population a des préoccupations réelles que tout le monde connaît. Il faut qu’on s’attaque à ces problèmes » a-t-il déploré ; indiquant par la même occasion que la place doit être faite maintenant aux actions.

Dr Brou a plutôt dénoncé la propension des ivoiriens à discourir. Plutôt que de se mettre au travail. « En Europe, les gens sont au travail. Les chercheurs sont dans les laboratoires. Les universitaires écrivent des mémoires. Pendant qu’ici, les gens sont payés à ne rien faire. Nous avons assez de cadres bien formés mais qui n’arrivent pas l’occasion de mettre leurs talents au service du pays. C’est déplorable » a-t-il regretté.

Poursuivant sa critique, le DAF de l’INP-HB, a soutenu que « tout est à l’envers en Côte d’Ivoire » et « les ivoiriens ont pris l’habitude de faire le contraire de tout ». « La devise de la Côte d’ivoire est Union-Discipline-Travail. Mais aujourd’hui, nous sommes désunis, le pays est divisé, et les ivoiriens ne se parlent même plus. La discipline a foutu le camp ; il n’y a plus de respect pour l’autorité, l’indiscipline s’est plutôt généralisée. 

Le travail, on n’en parle plus. Les ivoiriens n’aiment pas travailler. Alors que c’est dans le travail que les occidentaux et les pays comme la Corée du Sud et la Chine se sont développés » a –t-il déclaré.

Pour lui, « la meilleure manière pour les ivoiriens de marquer ce cinquantenaire, c’est de se mettre au travail » et c’est à ce prix que le pays pourra renouer avec le développement.

KOFFI KOUAME
Agence de Yamoussoukro
FratMat

Source:www. Connectionivoirienne.net

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